Transcription de quatre chants maliens traditionnels.
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Chants maliens
Transcription de quatre chants maliens traditionnels.
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Auteur | Traditionnel |
Compositeur | Traditionnel |
Arrangeur | Charlie Rabuel |
Transcripteur | Charlie Rabuel |
Année de création | 2005 |
Lieu de création | Bamako (Mali) |
Niveau | Moyen |
Age des enfants | 9 à 12 ans |
Nombre d'enfants | 20/25 enfants |
Durée | 6mn environ |
Notation musicale | Conventionnelle |
Style | Traditions multiples |
Forme | Chanson |
Nombre de voix d'enfants | 1 voix |
Langue | Malien |
Style vocal | Chanté |
Enfants instrumentistes | Percussion corporelle |
Instrumentistes extérieurs | Djembé alto, Djembé médium, Djembé basse, Djembé |
Contenu de la partition | Conducteur |
Nombre de pages | 16 |
Les quatre pièces proposées par Charlie Rabuel sont le travail d’un amoureux des chansons du monde qui a déjà beaucoup parcouru différents pays d’Afrique ou du bassin méditerranéen pour s’immerger musicalement avec les artistes qu’il rencontre en jouant avec eux leur répertoire. C’est ainsi qu’il transcrit les chants et les instrumentations dont il s’est imprégné, en les proposant aux enfants ou à ses amis musiciens français à chaque retour.
Aspects techniques et pédagogiques
Ces quatre chants traditionnels proviennent d’un séjour effectué par Charlie Rabuel dans le cadre d’un voyage d’études organisé par le CFMI de Lyon en 2005. Une part importante est dévolue aux percussions : elles sont assurées par des djembés, que l’on peut multiplier en cas de besoin par pupitres. S’ajoutent pour deux titres les frappements de mains (claps). On comprendra aisément qu’il est difficilement pensable de remplacer les percussions par des woodblocks ou des tambourins, la musique traditionnelle a comme toute musique l’exigence de ses couleurs originales. Comme pour toute partition, surtout pour des pièces qui donnent la place prépondérante aux percussions, et plus encore parce que les frontières entre chant, danse, instrumentation sont la plupart du temps hors de propos dans la musique traditionnelle africaine, il faut commencer par faire écouter beaucoup de musique enregistrée par les artistes de ces pays, et notamment ici par des musiciens maliens. A titre d'exemples, on pourra écouter : - "Drums from Mali", ensemble instrumental de Mamadou Kanté - "Mouneïssa" de Rokia Traoré - "Savane", dernier enregistrement d'Ali Farka Touré ou des djembéfolas tels que Séga Sidibé ou Soungalo Coulibaly
Informations supplémentaires
Konia et Sou lou hili lé sont construites sur le même pattern de percussions. Seules changent la ligne mélodique du chant, le premier titre (Konia) étant suivi d’une partie instrumentale seule qu’il est possible d’accoler au second titre (Sou hili lé). Il en va de même pour Danser et Dibido : les structures rythmiques sont identiques et les parties instrumentales s’appliquent aussi bien à Dibido qu’à Danser. La difficulté de ces pièces n’est pas dans le déchiffrage, mais dans l’exécution qui doit être l’expression du rythme du corps dansant et chantant. Comme la souplesse, cela vient avec le temps, avec l’écoute, et avec le travail...