José Schmeltz a composé une pièce qui met en exergue une multiplicité de formes expressives comme s’il s’agissait d’un parcours pour découvrir l’immense champ de la pratique musicale.
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Le koala qui n'existait pas
José Schmeltz a composé une pièce qui met en exergue une multiplicité de formes expressives comme s’il s’agissait d’un parcours pour découvrir l’immense champ de la pratique musicale.
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Auteur | José Schmeltz |
Compositeur | José Schmeltz |
Niveau | Moyen |
Age des enfants | 8 à 12 ans |
Nombre d'enfants | 20 à 40 enfants |
Durée | 2 minutes 15 |
Notation musicale | Conventionnelle |
Style | Contemporain |
Forme | Choeur |
Nombre de voix d'enfants | + de 2 voix |
Langue | Anglais, Français |
Style vocal | Parlé-chanté |
Accompagnement | Instrument |
Instrumentistes extérieurs | Batterie, Piano, Saxophone baryton, Tambourin à cymbalettes |
Contenu de la partition | Conducteur, Parties séparée, Note d'intention du copositeur |
Nombre de pages | 18 |
Thèmes | Animaux, Colère |
José Schmeltz, professeur et conseiller aux études du Conservatoire de Valence, comme tous les enseignants soucieux de donner à leurs élèves des pièces pouvant entretenir un intérêt et un plaisir musical à travers les moments d’apprentissage, a composé une pièce qui réussit le tour de force de mettre en exergue une multiplicité de formes expressives comme s’il s’agissait d’un parcours pour découvrir l’immense champ de la pratique musicale.
Aspects techniques et pédagogiques
En effet les parties confiées aux voix, selon les divers moments de la pièce, relèvent de la polyphonie chantée ou purement rythmique, avec des phrases en français ou en australo-anglais (honneur à l’origine géographique du koala), voire des onomatopées relevant de la percussion vocale. Un ensemble orchestral est également prévu, avec piano (ou guitare électrique), batterie, tambourin, saxophone baryton (ou tuba, contrebasse), avec recherche de sons improvisés pour ce dernier.
L’ensemble est composé avec des décalages rythmiques donnant toute sa vivacité à la pièce, sans exclure les retrouvailles en isorythmie pour donner l’intensité de la plainte du jeune koala qui ne demande qu’une chose, qu’on ne lui ôte pas son plaisir de mâchouiller les feuilles d’eucalyptus et qu’on le laisse vivre (« we gotta live », comme on dit dans les forêts de la Tasmanie).
Informations supplémentaires
Cette pièce est aussi bien une œuvre introduisant à la multiplicité des pratiques musicales dans une classe d’école élémentaire ou dans une classe de formation musicale en conservatoire, qu’une œuvre venant au terme d’un cycle où l’on a abordé différents registres d’expression musicale, qui trouvent ainsi leur synthèse sous forme alerte et joyeuse.
Consultez le site web de José Schmeltz : www.jose-schmeltz.fr