Comme dans la plupart des pièces d’Alain GIBERT, on est entre l’improvisation type ARFI (beaucoup d’imagination au sein d’une grande rigueur) et la solidité à assurer collectivement pour les séquences écrites, surtout lorsque la fin demande d’assurer un chœur à quatre voix où l’on mêle dans une même partie voix et mirlitons.
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Mirlitysmes
Comme dans la plupart des pièces d’Alain GIBERT, on est entre l’improvisation type ARFI (beaucoup d’imagination au sein d’une grande rigueur) et la solidité à assurer collectivement pour les séquences écrites, surtout lorsque la fin demande d’assurer un chœur à quatre voix où l’on mêle dans une même partie voix et mirlitons.
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Auteur | François RABELAIS |
Compositeur | Alain Gibert |
Année de création | 2008 |
Lieu de création | Oullins (Rhône) |
Niveau | Moyen |
Age des enfants | 9 à 15 ans |
Nombre d'enfants | 25 enfants |
Durée | environ 8 minutes |
Notation musicale | Conventionnelle |
Style | Contemporain |
Forme | Forme libre |
Pièce ouverte à l'invention des enfants | Oui |
Nombre de voix d'enfants | + de 2 voix |
Langue | Français |
Style vocal | Chanté |
Enfants solistes | Un soliste |
Enfants instrumentistes | Corps sonores, Instruments fabriqués |
Contenu de la partition | conducteur |
Nombre de pages | 8 |
Thèmes | Histoire, Eau |
Alain GIBERT crée souvent ses pièces pour enfants avec eux : il leur apporte suggestions et propositions de jeu, puis il écoute, revient, enrichi des échanges, fait de nouvelles propositions. Ainsi naît avec lui une partition où le compositeur a son rôle essentiel pour choisir, structurer, faire sonner les voix et les instruments, mais où les enfants aussi ont leur apport et se reconnaissent dans l’œuvre finale. Il n’est guère étonnant alors, que la même pièce, lorsque d’autres groupes s’en saisissent « s’y retrouvent », surtout lorsque François Rabelais est là pour offrir un vocabulaire fruité et succulent.
Aspects techniques et pédagogiques
Une introduction donne les indications de construction des mirlitons ; des indications sont également livrées tout au long de la partition pour la mise en espace à variation constante et les modes de jeu. Comme dans la plupart des pièces d’Alain GIBERT, on est entre l’improvisation type ARFI (beaucoup d’imagination au sein d’une grande rigueur) et la solidité à assurer collectivement pour les séquences écrites, surtout lorsque la fin demande d’assurer un chœur à quatre voix où l’on mêle dans une même partie voix et mirlitons.